Quand le cinéma devient POÉSIE
Un cinéaste qui nous rend libre
Une pensée en mouvement
L'essence de l'émotion
Le rythme de la pensée dans sa musicalité la plus noble
histoire(s) de
Poussières d'Amérique
Un cinéaste qui nous rend libre
Une pensée en mouvement
L'essence de l'émotion
Le rythme de la pensée dans sa musicalité la plus noble
histoire(s) de
Poussières d'Amérique
"Ce film est une improvisation. Un journal de travail. Un poème un peu long fait de morceaux d’autres films, de bout de phrases, de musiques et de sons d’un peu de tout. Ecrit dans la langue du cinéma. Sans dialogues. Sans commentaire. Muet. Mais bavard aussi parce qu’il raconte beaucoup d’histoires. Une vingtaine. Brèves, infimes et qui mises ensemble font ce qu’on appelle la grande histoire. Ça parle d’Amérique. Donc de nous..."
Après
des études de littérature et une pratique d’acteur et de metteur en
scène théâtral, Arnaud des Pallières apprend le cinéma à la Fémis. Le
moment fondateur de son cinéma semble pourtant être la conférence de
Gilles Deleuze « Qu’est ce que l’acte de création ? », qu’il filme en
1987. Dès lors suivront courts, moyens et longs métrages oscillant entre
fiction et documentaire, parmi lesquels Drancy Avenir (1996), Is Dead
(portrait incomplet de Gertrude Stein) (1999), Disneyland –Mon vieux
pays natal (2001), Adieu (2003), Parc (2008), Diane Wellington (2010),
Poussière d’Amérique (2011). Une traversée du présent et du passé que le
cinéaste ne cherche pas à documenter mais plutôt à recréer avec des
éléments du réel : un voyage d’images et de sons dans lequel
l’information disparaît et surgit l’évocation d’un instant, d’une
époque, d’un état du monde.
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